"We will kill you. You will croak."
Where is the media coverage of 600 people terrorized by Muslims? On blogs. We'll update this as we can.
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Chirac vows to hunt down train gang
From correspondents in Paris
January 04, 2006 FRENCH President Jacques Chirac has vowed to bring to justice a gang that terrorised hundreds of train passengers in a long rampage of violence, robbery and sexual assault on New Year's Day.
The two hour criminal frenzy by between 20 and 30 youths was "totally unacceptable," he saidr.
"Those guilty will be found and punished as they deserve."
The gang boarded the train, bound from Nice on the French Riviera to Lyon, in eastern France, early on January 1, as it carried 600 passengers home from New Year's Eve partying overnight.
Once inside, they went wild, forcing passengers to hand over mobile telephones and wallets, and slashing seats and breaking windows.
A 20-year-old woman cornered by several of the marauders was sexually molested.
Train staff alerted police, and the train pulled into a station to wait.
The three officers who initially turned up had to wait for reinforcements before boarding, during which time the youths continued to cause trouble.
The train then resumed its journey with a heavy police presence aboard but, just before Marseille, the youths pulled the emergency stop and escaped by running along the tracks.
Only three - two 19-year-old Moroccans and a minor, all living in France - were arrested.
Both men were being held for robbery and one was also facing charges of sexual assault.
http://www.theaustralian.news****
L'effroyable voyage des passagers du Nice-Lyon
Une bande de délinquants a terrorisé et dépouillé les passagers du train Nice-Lyon en gare des Arcs dans le Var le 1er janvier. Deux suspects ont été placés en détention provisoire à l'issue de leur comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Draguignan. La justice tentera de faire la lumière sur ces accusations le 6 mars prochain.
Créé le 03 janvier 2006
Mis à jour le 03 janvier 2006 à 22h08
Deux jeunes gens de 19 ans, soupçonnés d'avoir participé à cette équipée sauvage, ont été placés en détention provisoire à l'issue de leur comparution immédiate lundi devant le tribunal correctionnel de Draguignan, dans l'attente de leur procès, renvoyé au 6 mars. Les deux prévenus de nationalité marocaine devront répondre de vols en réunion et, en plus pour l'un des deux, d'atteinte sexuelle en réunion. L'un des deux serait en situation irrégulière sur le territoire, selon le parquet qui procédait à des vérifications. Un mineur, également arrêté, sera jugé séparément.
Billets à 1,20 euro
Il est 07H00 le 1er janvier: l'arrêt en gare des Arcs du train Nice-Lyon, prévu pour ne durer que quelques minutes, se transforme en scène de Far-West. A bord du train bondé, plusieurs bandes de jeunes, entre 20 et 30 personnes en tout, selon les témoins, sèment la terreur.
Selon les gendarmes, ils font partie d'un groupe d'une centaine de jeunes des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse, descendus la veille réveillonner et faire la fête à Nice, Cannes et Fréjus, grâce au tarif spécial Nouvel An à 1,20 euro mis en place par la SNCF sur les lignes régionales.
Le lendemain, ils reprennent le premier Corail Nice-Lyon. Dès le départ de Nice, des incidents sont signalés. Des passagers sont dépouillés de leur téléphone portable. Des bousculades surviennent. Un couple de Parisiens de 25 ans est méthodiquement dépouillé de ses portefeuilles, cartes bancaires, téléphones portables. Prise à partie par tout un groupe, une jeune fille de 20 ans, domiciliée à Besançon, subit des violences sexuelles. "T'es mort. Tu vas crever!", lancent certains des agresseurs à l'encontre de passagers qui ont osé alerter des contrôleurs.
Apeurés, des voyageurs s'enferment dans les compartiments. "C'était une véritable scène de pillage du train", a raconté lundi à l'audience le procureur de Draguignan, Dominique Luiggi. Le chef contrôleur fait alors usage de son "droit de retrait", appelle les gendarmes, et prend la décision de stopper le train en gare des Arcs, estimant que la sécurité des passagers n'est plus assurée.
"Mouvements de panique"
Des gendarmes arrivent. Il ne sont que trois et doivent, de plus, attendre un dépôt de plainte formelle de la SNCF avant de monter à bord, d'où le délai de blocage en gare d'une heure et demie, explique Alain Wiart, directeur de la communication de la SNCF de la région PACA.
Pendant ce temps, les jeunes continuent leurs saccages: poubelles renversées, sièges et rideaux lacérés, vitres fendues. Des "mouvements de panique" sont observés parmi les 600 passagers du train, rapporte le procureur.
Trois jeunes, dont un mineur, sont alors interpellés en gare des Arcs. Il faudra l'intervention massive de renforts de diverses brigades de gendarmerie ainsi que de pelotons de surveillance et d'intervention de Draguignan et de Fréjus, qui montent à bord, pour que le train puisse repartir.
Peu avant l'arrivée en gare à Marseille, dans la confusion générale la plupart des jeunes toujours à bord, parviennent à s'échapper. Ils tirent le signal d'alarme et s'enfuient sur les voies, au péril de leur vie. Selon la SNCF, ce train avait bien fait l'objet d'un accompagnement par la police ferroviaire et un chien, mais seulement entre Nice et Saint-Raphaël. La SNCF a porté plainte pour vandalisme.
D'après AFP
http://news.tf1.fr/news/france
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PARIS (Reuters) - L'affaire du train Nice-Lyon, où quelque 600 passagers ont été terrorisés par des jeunes le 1er janvier, a tourné à la polémique politique mercredi, le Parti socialiste interpellant Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.